13 Juil Tecnova étudie l’utilisation des larves d’insectes comme outil clé de l’économie circulaire
Insectes pour la bioconversion des résidus agricoles en composés à haute valeur ajoutée
En tant que projet de Recherche, Développement et Innovation dans le cadre de l’Ordre des Agents du Système de Connaissances Andalous, Tecnova mène des recherches utilisant des larves d’insectes pour la bioconversion de résidus agricoles en composés à haute valeur ajoutée. Il s’agit d’un projet financé par le Fonds européen de développement régional et le ministère de l’Économie, de la Connaissance, des Entreprises et des Universités.
La gestion des résidus de l’agriculture intensive devrait être une obligation de plus pour l’avenir durable des serres. Les actions sont engagées à aborder la gestion des restes végétaux dans la perspective du concept d’économie circulaire, de la bioéconomie et de l’union entre les différents agents impliqués, afin que les restes végétaux puissent être réévalués de manière plus efficace, aboutissant à leur fermeture cycles de production.
En bref, il s’agit de promouvoir un nouveau système qui réutilise ou recycle les matières et déchets générés pour créer de nouvelles matières premières qui sont réintégrées sur le marché, leur redonnant une seconde vie et s’orientant vers le développement durable.
En ce sens, le présent projet Entonatur entend utiliser les insectes comme vecteurs pour augmenter le potentiel de leur composition grâce à l’utilisation de résidus de l’industrie des fruits et légumes, en les utilisant comme nourriture pour eux. Les larves d’insectes sont capables de se nourrir de déchets organiques de toutes sortes et d’utiliser ses composés d’intérêt pour améliorer leur composition riche en composés bioactifs. Elle souhaite réaliser une utilisation globale des larves d’insectes nourries avec des résidus pour susciter l’intérêt de l’industrie agricole et alimentaire, principalement.
En général, la production horticole en serre implique la génération d’un grand volume de restes végétaux qui pose des problèmes de gestion dans les zones où il y a une forte concentration de ce type de production, étant l’un des problèmes graves que l’agriculture a eu. intensif, depuis sa création jusqu’à aujourd’hui.
Avec la première étape, élever des insectes à l’échelle du laboratoire et les nourrir avec des fruits d’abattage préalablement traités. Nous ferions ensuite une analyse des insectes pour évaluer leur potentiel par rapport à la teneur en biocomposites, qui est censée varier avec les aliments. Une fois analysés, nous procédons à l’élaboration de méthodologies d’extraction pour isoler ces biocomposites d’intérêt et enfin les applications possibles dans l’industrie agricole et dans l’industrie alimentaire sont étudiées. En général, des produits qui améliorent l’état du sol et de la plante.
Opportunité pour les fruits de la destructio
Les fruits Destrío sont sélectionnés qui, en raison de leur composition, présentent un intérêt pour être utilisés à cette fin. Afin de profiter de tous les produits de destruction de la zone, différentes stratégies sont utilisées pour sélectionner les fruits qui seront utilisés comme nourriture pour insectes, en tenant toujours compte des produits avec le taux de destruction le plus élevé.
L’union entre l’économie circulaire et la bioéconomie
Avec des stratégies comme celle acquise dans ce projet, il est possible de fermer le cycle de production des cultures horticoles, en réduisant les déchets, en lui donnant une utilisation qui permet d’obtenir des produits qui peuvent être appliqués dans d’autres cycles de culture. De cette manière, l’économie circulaire est utilisée avec les activités de biotechnologie puisqu’elle est engagée dans un processus durable et en améliorant l’utilisation des ressources naturelles.
En outre, des travaux sont en cours pour générer des connaissances dans le domaine de la biotechnologie (insectes), augmentant ainsi le développement de l’innovation dans le secteur agricole. L’élevage d’insectes, par rapport à tout autre modèle productif, est bénéfique pour l’environnement, puisque c’est celui qui rejette le moins de gaz à effet de serre dans l’environnement. Aujourd’hui, plus de deux mille types d’insectes sont consommés.
Pour ces raisons, il est nécessaire de travailler pour résoudre les différents défis qui se posent sur le chemin du modèle d’économie circulaire dont l’objectif est de conserver le plus longtemps possible les matériaux, les produits et les ressources dans le système, ce qui permet de minimiser la génération de déchets et consommation d’énergie. Sur cette base, il est proposé d’incorporer des stratégies de valorisation des déchets végétaux et de leur utilisation comme matière première pour la synthèse de produits de valeur économiquement viables.